Après avoir atteint un record en 2021, le marché automobile en France a connu une baisse, en raison de la flambée des prix ainsi que la pénurie de modèles récents. Cela peut aussi s’expliquer par le fait que le malus prévoit la fin des moteurs thermiques en France, en effet, les voitures à moteur thermique seront taxées à partir de janvier 2024.
Tout comprendre sur le malus automobile en France
Selon la loi de finance, les véhicules thermiques vont connaître une hausse de prix en 2024. Cela concernera la moitié des véhicules neufs qui vont être vendus l’année prochaine. Quel que soit le modèle de la voiture, le malus va rencontrer plusieurs modifications. Par ailleurs, afin de réduire les émissions de CO2, le gouvernement incite les consommateurs à acheter des voitures moins polluantes, comme l’Audi RS3. Pour plus d’informations, renseignez-vous auprès d’un concessionnaire auto.
L’impact du Malus sur le marché
Le Malus auto a entraîné des mesures plus strictes sur le marché automobile en France. Cela est dû au système malus écologique mis en place par le gouvernement. En effet :
- le prix des véhicules d’occasion et des véhicules neufs ont chuté ;
- le choix des consommateurs a changé à tous les niveaux ;
- les véhicules à moteur thermique seront taxés à partir de janvier 2024.
Impact sur les véhicules électriques et hybrides
Le gouvernement a accordé une prime sur les véhicules électriques et hybrides rechargeables en 2024. Ainsi, il encourage les consommateurs à opter pour ces types de véhicules afin d’avancer vers une mobilité plus propre. Ce qui a porté ses fruits avec une augmentation de la vente de ces véhicules plus écologiques. Grâce à cela, la France s’achemine vers un avenir plus durable et moins polluant.
Perspective d’avenir pour le secteur automobile en France
Le marché des véhicules est en constante évolution en France, notamment les véhicules électriques. Selon une analyse, la France est l’un des pays au monde, où le virage électrique semble le plus dynamique. Le malus écologique permet à l’Etat d’engendrer des gains : pas moins de 600 millions d’euros. En effet, la vente de voiture de moteur électrique a augmenté de 28 % par rapport à l’an dernier.